Mots contraints : Débris, discipline, question, second, swing, océan, marmelade, parfait, demander.
Les oulimots de Cassis Fraise :
Il commanda son Martini et deux olives, au shaker pas à la cuiller. Elle pris, sans le demander, un Gin tonic concombre, puis un peu de marmelade pour y tremper un doigt puis un second.
Ils se dirigèrent vers le practice, il laissa tomber ses balles et se baissa pour ramasser les débris d’un ancien tee. Elle pris son club et frappa les balles en direction du premier trou vers l’océan.
C’est sans doute une question de discipline et de degré, cependant avec ou sans contrainte elle avait un swing parfait !
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Les oulimots de Dopamine :
Ces vieux débris qui n’ont que ça à foutre, de travailler leur swing entre deux cocktails au club house, ça me met la gerbe. Surtout quand, dans un second temps, ils commencent à évoquer la question de la discipline pour à peu près tout ce qui n’est pas comme eux. Bref, pas la peine de me le demander, il y a un océan entre eux et moi, même si j’évolue dans leur monde parfait où même la marmelade reste sagement sur les tartines
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Les oulimots de Valérie :
Année 1 : Il est si beau, si gentil, si parfait, en un mot ! Dès que je le vois, j’ai les jambes en marmelade, il n’est plus question de réfléchir, d’aligner deux pensées cohérentes, j’évite de me demander quels sont ses défauts…
Année 8,5 : C’est quoi, ses qualités, déjà ? Je vous jure, en une seconde il m’énerve, j’ai parfois envie d’aller voir ailleurs s’il y est ! Mais je reste, bien sûr, on m’a inculqué la discipline, à moi, monsieur ! Alors je me plie à ses diktats mais la révolution gronde…
Année 23,7 : Trop, c’est trop. Aujourd’hui ma colère ne connaît plus de limites. Bienvenue au club ! D’un swing je l’étale par terre ! Un second en pleine tête et je l’achève ! Il n’est plus qu’un débris, enfin ! C’est un flot de soulagement, de liberté qui me gagne par vagues puissantes. Je suis incapable d’analyser mes émotions en cet instant, elles me submergent telles un tsunami, une éruption sous-marine au coeur de mon océan intime.
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Les oulimots d’Elisa Stark :
Ils ont essayé de me rouler dans la marmelade. Quand je suis rentrée à la maison, j’ai vu des débris dans le salon, la fenêtre avait été cassée. J’ai appelé ma troupe d’enfants pour mener l’enquête. J’ai d’abord posé des questions, leur ai demandé de se dénoncer, puis j’ai abordé les notions de discipline en disant que ça allait swinguer. Tout paraissait fonctionner, je voyais même le second plus jeune avoir la lèvre qui tremblait. Mais quand il m’a dit “c’est moi” avec ses grands yeux couleur océan, j’ai fondu et je lui ai dit que c’était bien d’assumer et que maintenant il ne lui restait plus qu’à tout nettoyer.
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Les oulimots d’Hervé B :
L’océan qui s’était déchaîné la nuit précédente, avait cessé de charrier des débris sur la plage, qui ressemblait maintenant à un champ de bataille sur lequel une armée d’écologistes en colère aurait déversée toutes les poubelles des alentours, chargées d’une bouillie informe genre marmelade, déchets étant restés au fond de ces dites poubelles pendant trois mois sous la pluie le vent le froid, le soleil, à l’air libre en fait ! Les vagues, ce matin, étaient rythmées d’un battement régulier qui me faisait me remémorer immanquablement ce morceau de jazz dont le swing, du morceau et de cette période de ma vie, étaient parfait.
Il ne fallait pas me demander des précisions, ce n’était pas le moment, ni la question à laquelle je devait, et ma retraite, et éventuellement l’émergence de la réponse, car ma réflexion devait se faire dans le calme et la discipline. Un second plan de bataille auquel le clapotis des vagues allait faciliter l’émergence.
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Les oulimots de Gérald :
J’essaie d’être en pleine forme et en bonne santé, alors, question discipline, je ne plaisante pas. En premier lieu, je fais du sport, footing, vélo, et surtout natation, je suis devenu un vrai pro, je pourrai traverser des océans, bon, j’exagère un peu. Et en second, je surveille mon alimentation. Terminé les sucreries, les confitures et les marmelades.
En plus, ma copine m’a fait découvrir le swing, une danse qui fait bien travailler le corps et cela me change un peu, j’aime bien. Bon, ok, mon style est loin d’être parfait, mais vous pouvez lui demander, je fais des efforts.
Ma chérie, qui a toujours le mot pour rire se plaît à me dire qu’elle veut un amant en pleine possession de tous ses moyens, et non un vieux débris.
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Les oulimots de Bella Dona :
Un océan de marmelade swingue et déferle sur des vagues de sucre.
Ça va,
Ça vient,
Aucune discipline .
Des débris de sucre parsèment la surface gélifiée.
Il me vient une seule question.
Je me demande quand viendra la seconde vague de ce tsunami.
J’adore ce manga, le décor est parfait.
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Les oulimots de Marie Bulsa :
Je n’étais plus sûre de moi. Je me suis toujours sentie comme un débris que personne ne sait où jeter. C’était à se demander ce que je faisais ici.
Je suis allée me ressourcer face à l’Océan et là comme une révélation, j’ai réalisé qu’il n’était plus question de me défiler, de me laisser intimider.
J’ai donné un second souffle à ma carrière, à ma vie.
Je voulais être, moi, séduisante. J’ai repris le chant et la danse, des disciplines complémentaires et difficiles. J’ai travaillé comme une forcenée pour une place de choix au moulin rouge.
Et là, sous les projecteurs, j’ai chanté « Lady marmelade ». J’avais le swing dans la peau. La salle était en émoi. C’était parfait ! C’était de nouveau moi !
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Les oulimots de SecretSensualité :
Au crépuscule, alors que les derniers rayons du soleil se dissipent à l’horizon, nous nous retrouvons sur la plage déserte, parmi les débris de coquillages éparpillés comme des témoins muets de notre amour naissant. Dans cet instant suspendu, la discipline de nos désirs s’efface devant l’océan de passion qui nous submerge.
Une question muette flotte entre nous, un désir ardent de comprendre les mystères de l’autre, de percer les secrets cachés derrière chaque regard, chaque sourire en coin. Et dans ce jeu enivrant, chaque mot devient une caresse, chaque silence une promesse.
Au second où nos regards se croisent, un frisson parcourt nos corps comme une décharge électrique, nous poussant l’un vers l’autre dans un élan irrésistible. Nos âmes se rejoignent dans un parfait accord, nos cœurs battent à l’unisson, emportés par le même rythme enivrant.
Le swing de nos corps s’accorde au murmure des vagues qui viennent lécher le rivage, comme une mélodie enivrante qui nous emporte vers des sommets insoupçonnés de plaisir. Et dans cette danse envoûtante, nous nous abandonnons à la douceur de l’instant présent, savourant chaque sensation comme une délicieuse marmelade de désir.
Il n’y a rien à demander, rien à souhaiter de plus dans cet instant de perfection, où nos corps fusionnent dans une étreinte passionnée, scellant notre amour dans un éclat de félicité éternelle.
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Les oulimots de Dick :
Tout a commencé quand un jour, par curiosité, j’ai acheté un exemplaire de swing magazine à mon tabac presse. Il y avait donc des gens pour qui le concept du couple parfait passait par le mélange avec d’autres. C’était trop pour moi, j’ai caché la revue sous une pile en espérant que ma femme ne la trouve pas mais, fatalement, elle est tombée dessus
“La question du libertinage te préoccupe ? Il fallait me demander. Je dois t’avouer que c’est une discipline que j’ai pratiquée avant d’être avec toi et qui me manque un peu.”
Cette révélation m’a mis le cœur en marmelade dans un premier temps mais elle a su trouver les mots justes et de ces débris est venu un nouvel élan. J’aime désormais la voir dans un état second, extatique, se faire noyer dans un océan de foutre avant d’y apporter la touche finale.
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