Oulimots 2024S17 : la lumière de la contrainte

Mots contraints : Charmant, bouche, reine, tôt, complet, lumière, jamais, gant, s’émerveiller. 

Les oulimots d’Isiphentys Laurence :

De la bouche d’un homme aussi charmant, j’attendais des mots à m’émerveiller qui iraient comme un gant à son style. J’aurais été la reine de son univers, mise en lumière par ses propos. Il n’en fut rien. Il n’est jamais trop tôt pour découvrir que l’autre peut nous décevoir et mon cœur déborda de colère, complet.

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Les oulimots d’Elisa Stark :

Comme mon charmant vient dîner ce soir , j’ai décidé de lui faire des bouchées à la reine. Je sais qu’il sera là tôt dans son costume complet, pas besoin d’allumer la lumière lorsqu’il découvrira le plat que je n’ai jamais encore cuisiné. Je sais que quand il passera à table, il ôtera ses gants qui habillent des longues mains, alors on va s’émerveiller devant ce vol au vent.

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Les oulimots de Nicolaï Drassof :

Inutile t’émerveiller de ce Prince Charmant en complet blanc, gants beurre frais et bouche en cul-de-poule. Il ne te mettra jamais en lumière. Levée tôt et toujours occupée, tu ne seras la reine que du ménage et des corvées.
Pars, enfuis toi, et cours vite !

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Les oulimots de DaGaran :

C’était la première fois qu’Emma quittait sa chère Bretagne pour rejoindre la capitale.

Après avoir voyagé deux heures quarante à bord d’un TGV complet, la voilà à présent devant la bouche du métro qu’elle avait prévu d’emprunter. Un léger doute l’envahit et elle décide finalement de rester à la lumière du jour. La foule d’anonymes l’oppresse un peu. Emma, de nature plutôt solitaire, n’est pas habituée à l’effervescence qui l’entoure.

C’est donc en taxi qu’elle a choisi de se rendre chez sa cousine Jeanne dont elle est très proche.

Quelques mois plus tôt, Jeanne avait pris la décision de poursuivre ses études à Paris et les deux jeunes femmes n’ont jamais été séparées aussi longtemps.

À son arrivée rue des Mirabelles, Emma n’a pas le temps de s’émerveiller devant le charmant immeuble haussmannien où vit Jeanne : la voici arborant son vieux bonnet en laine, assorti à ses gants. 

Sa cousine l’accueille comme une reine dans son studio aménagé au dernier étage de l’immeuble.

Emma se sent rassurée en constatant que Jeanne n’a pas changé. Leur complicité demeure intacte. 

Ce soir, leurs rires résonneront jusqu’au bout de la nuit…

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Les oulimots de Dopamine :

Vous parlez d’un prince charmant ! Il a beau porter un magnifique complet veston, les mots les plus grossiers  sont sortis de sa bouche lorsqu’il s’est adressé à la Reine et c’est quelque chose que je ne laisserai jamais passer. 

J’ai donc décidé de lui jeter mon gant et demain, très tôt, à la lumière du soleil levant, nous réglerons ce litige à l’épée ou au pistolet. 

Mais attendez, la voilà qui s’émerveille devant son franc parler et me prie de ne pas en faire cas. Je ne comprendrai décidément jamais les femmes. 

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Les oulimots de Bella Dona :

Oui on peut s’émerveiller devant cette reine de beauté, un visage parfait, un joli petit nez et une bouche pulpeuse et attirante.

Elle attirait la lumière au bras de son prince charmant et toujours avec le sourire, jamais de tristesse ou de signes de fatigue.

Pour son couronnement elle portait une longue robe de soie blanche ornée de dentelles et des gants brodés.

Afin de ne rien louper il a fallu réserver très tôt pour le spectacle car ce fut complet rapidement.

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Les oulimots d’Hervé B :

Il n’avait jamais remis son habit de lumière, il n’y arrivait pas, il n’y arrivait plus ! Trop tôt disait-il … Pas maintenant … Plus tard, peut être, lorsqu’Elle sera revenue ! 

Et si Elle ne revient jamais ? Lui demanda son amie ?

Si, Elle reviendra lui dit-il, avec un charmant sourire, car Elle est ma Reine ! Et alors, Elle pourra de nouveau s’émerveiller, sur sa bouche je déposerais des milliers de baisers et lui dirais que je l’aime toujours, encore plus qu’avant, notre amour sera complet. Elle sera comme le deuxième gant de ma main, celui que j’avais perdu et que j’aurais maintenant retrouvé. Alors, j’endosserais de nouveau mon habit de lumière, mais pas celui d’un clown triste, non ! Un clown rieur, gai, qui la fera rire aux éclats, et dans ses yeux, je verrai les étoiles et le ciel, aussi bleu que ses yeux, et moi aussi, alors, je serai heureux !

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Les oulimots de Mary*poppins :

Chaque soir, il s’émerveillait de l’imagination dont elle faisait preuve pour lui plaire. Jamais il n’avait rencontré une femme aussi plurielle. Un port de reine, des yeux allant du bleu gris au presque noir selon la lumière. Et puis ce petit truc charmant, là, au bord des lèvres lorsqu’elle le désirait : mordre sa bouche discrètement. Cet aveu en silence qui le rendait fou. Son profil ne serait pas complet si on oubliait de parler de sa féminité. Sa sensualité, jusqu’au bout des doigts quand elle quittait ses gants de soie. Aujourd’hui il rentrera plus tôt.

La regarder vivre dans tous ces gestes d’elle qu’il aime tant.

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Les oulimots de Gérald :

Difficile de ne pas s’émerveiller en voyant cette jolie fille, aussi quand elle m’a abordé dans la boîte de nuit, j’étais aux anges, mon bonheur était complet.  Et quand elle a commencé à me draguer avec un aplomb incroyable, sans prendre de gants,  je suis resté sans voix.

“Je te trouve charmant, tu as de beaux yeux, une belle petite bouche, tu me plais.” 

Jamais une telle chose ne m’était arrivée. Elle me prend par la main, m’emmène dans un coin où il n’y avait pas trop de lumière.

“Laisse toi faire, je suis ta reine, tu m’appartiens.”

Je n’avais plus rien à dire, je lui ai obéi, je me suis laissé faire et comme il était encore tôt, la soirée s’annonçait longue et merveilleuse.

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Les oulimots de Marie Bulsa :

Je le voyais tous les jours sur la plage, tôt le matin, depuis la fenêtre de mon séjour, regardant l’océan dans son complet noir, les pieds dans l’eau. Il avait l’air si charmant.

Il s’est retourné et m’a vue. Je ne savais plus où me mettre. Je me suis cachée derrière le mur. Il s’est approché de la porte de la maison. Le rythme de mon cœur s’est mis à accélérer. J’avais peur et pourtant j’ai ouvert. Il y avait de quoi s’émerveiller devant son visage d’ange. Jamais je n’aurais pensé qu’il puisse s’intéresser à moi au point de venir.

Il a posé ses gants noirs sur la table et s’est approché de moi en silence. Je me suis sentie comme une reine devant son roi. Sa bouche a touché mes lèvres puis il m’a déshabillée avec lenteur et a retiré son complet noir pour me faire l’amour. C’était merveilleux. C’est à cet instant que j’ai vu ses ailes se déployer sous une lumière avant qu’il ne m’emporte vers les cieux.

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Les oulimots de Dick :

La lumière est douce et elle arbore un sourire charmant au moment de me prendre dans sa bouche. 

“Tu vas voir, je suce comme une reine et tu ne pourras plus jamais t’en passer, surtout si je te fais la complète.“

Il y a en effet de quoi s’émerveiller à sentir ses lèvres aller comme un gant à ma queue même si je sais que je jouirai plutôt tôt que tard. Alors je me laisse faire et je profite 

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